L’asthme, une maladie chronique des voies respiratoires, entraîne des difficultés respiratoires et une toux persistante. Souvent diagnostiqué dès l’enfance, l’asthme peut toutefois se manifester à n’importe quel âge, se traduisant par des crises pouvant perdurer pendant des heures, voire des jours.
Il s’agit en réalité d’une affection touchant les bronches, les conduits par lesquels l’air parvient aux poumons. La paroi bronchique s’enflamme brusquement, accumule du liquide, épaissit la paroi, entraînant ainsi un rétrécissement des canaux par lesquels l’air circule lors de l’inspiration et de l’expiration (obstruction bronchique).
C’est pourquoi la respiration devient laborieuse pour le patient, souvent accompagnée d’un sifflement (wheezing). L’air parvient non seulement difficilement aux poumons, mais son expiration est également plus ardue à travers les bronches rétrécies.
En raison du rétrécissement des bronches, le mucus s’évacue avec peine, s’accumule et prend une consistance plus épaisse. Cela déclenche une toux persistante, parfois dérangeante, une sorte de toux asthmatique, car le patient a toujours l’impression de devoir cracher. Les symptômes de l’asthme peuvent s’intensifier durant la nuit.
L’asthme était déjà identifié comme une maladie dans l’Égypte ancienne, où on le traitait en inhalant des vapeurs d’un mélange de plantes aromatiques. Hippocrate, considéré comme le père de la médecine, a consigné des observations sur l’asthme il y a plus de quatre siècles avant Jésus-Christ et lui a attribué le nom de « respiration difficile » en grec, soit asthma.
À l’échelle mondiale, quelque 339 millions de personnes vivent actuellement avec l’asthme bronchique. On estime que ce nombre pourrait grimper à 400 millions d’ici la fin de la décennie. La maladie entraîne chaque année 250 000 décès. En Europe, l’incidence de l’asthme bronchique varie considérablement, allant de 20% en Suède et 17,6% au Royaume-Uni à seulement 1,4% en Bosnie-Herzégovine.
En France, 5,8% de la population est touchée par l’asthme (selon l’étude Constances, 2021), tandis que 10,2% ont été confrontés à la maladie au moins une fois au cours de leur vie (d’après l’étude ASTHMAPOP, 2018). Le coût moyen du traitement pour l’asthme est estimé à 757 euros par an, avec une montée à 1925 euros par an pour les cas graves nécessitant une hospitalisation.
Qui souffre d’asthme ?
L’asthme peut toucher des individus de tout âge, mais il se manifeste le plus fréquemment pendant l’enfance, avec une prédominance chez les garçons par rapport aux filles. Chez les adultes, on observe une fréquence plus élevée chez les femmes que chez les hommes. Naturellement, il y a des exceptions à la règle – la maladie peut débuter chez des adultes plus âgés, même après l’âge de 60 ans. Les personnes atteintes de l’asthme présentent une sensibilité particulière des voies respiratoires, appelée hyperréactivité bronchique. L’inhalation involontaire d’allergènes ou de vapeurs toxiques déclenche une inflammation excessive des voies respiratoires, accompagnée d’un bronchospasme – une contraction spasmodique des muscles lisses des parois des bronches.
Tout traitement médicamenteux de l’asthme bronchique se fait à l’aide d’inhalateurs pour l’asthme, qui contiennent des corticostéroïdes inhalés pour réduire l’inflammation, ainsi que des bronchodilatateurs pour dilater les bronches et faciliter la respiration. Ces traitements, prescrits par des spécialistes, contribuent à maintenir les symptômes sous contrôle, permettant ainsi au patient de mener une vie normale.
Facteurs de risque pour les personnes asthmatiques
- Infections respiratoires récurrentes – même de simples rhumes d’enfance, des infections virales, ou la grippe. Après la maladie et le traitement médicamenteux, même avec des antibiotiques, la toux persiste pendant un certain temps.
- Exposition à la fumée de tabac, y compris celle de la cigarette électronique – que le patient soit fumeur actif ou passif.
- Inhalation régulière de vapeurs toxiques provenant de peintures, de laques, de solvants – asthme professionnel.
- Utilisation de parfums ou de produits de nettoyage.
- Forte exposition à la pollution atmosphérique.
- Allergènes – asthme allergique – tels que:
- Pollens – particulièrement au printemps et au début de l’automne.
- Moisissures – qui se développent dans des endroits ombragés et humides.
- Poils d’animaux domestiques.
- Fréquente exposition à des températures basses associées à des infections virales respiratoires.
- Fluctuations soudaines de température, surtout lors de transitions du chaud au froid.
- Stress, chocs émotionnels déclenchés par l’annonce d’une nouvelle ayant un impact majeur.
- Prédisposition génétique – antécédents familiaux d’asthme, le plus souvent.
Comment identifier l’asthme?
Les signes typiques de l’asthme incluent:
- Une sensation d’étouffement ou de difficulté à respirer, appelée dyspnée, surtout pendant l’expiration.
- Une impression de pression dans la poitrine, souvent décrite comme un « nœud dans la poitrine ».
- Une toux, soit sèche, soit accompagnée d’une expectoration minime, qui survient fréquemment après un effort physique ou même après un éclat de rire. La toux asthmatique est persistante et fatigante, surtout la nuit.
- Un sifflement dans la respiration, également appelé wheezing.
- Les crises d’asthme bronchique se déclenchent soudainement, les symptômes s’aggravent par temps froid ou suite à un effort physique, et peuvent disparaître après quelques jours/semaines.
Traitement de l’asthme
Le traitement médicamenteux de l’asthme bronchique vise à atténuer les symptômes, à réduire la fréquence et la durée des crises, ainsi qu’à soulager le phénomène de bronchospasme. En tant que traitement d’entretien et de contrôle, il est administré quotidiennement et ne devrait pas être interrompu de sa propre initiative lorsque les symptômes ne se manifestent pas.
Le traitement cherche à lever l’obstruction bronchique, souvent en utilisant une combinaison de corticoïdes inhalés et de bronchodilatateurs. L’inhalation est préconisée pour assurer l’efficacité optimale des substances actives, les amenant ainsi plus aisément en profondeur dans les voies respiratoires.
Attention: l’absence de traitement de l’asthme entraîne des crises de plus en plus fréquentes et sévères.
La thérapie avec SaltMed pour l’asthme
La thérapie par émission contrôlée de microparticules de sel se révèle extrêmement bénéfique pour les personnes asthmatiques. En inhalant les microparticules de sel, celles-ci atteignent rapidement la muqueuse enflammée des bronches. Le sel absorbe l’eau, réduit l’inflammation, et les tubes bronchiques se dilatent, permettant ainsi au patient de respirer plus aisément.
De plus, des études scientifiques démontrent que le traitement au sel diminue la sensibilité aux allergènes, des acteurs majeurs dans le déclenchement des crises. Ainsi, cette hyperréactivité bronchique diminue. Conséquence importante: la sensation de manque d’air disparaît. C’est pourquoi il est essentiel que les personnes asthmatiques utilisent l’inhalateur de sel SaltMed quotidiennement et sur une période prolongée.De plus, des études scientifiques démontrent que le traitement au sel diminue la sensibilité aux allergènes, des acteurs majeurs dans le déclenchement des crises. Ainsi, cette hyperréactivité bronchique diminue. Conséquence importante: la sensation de manque d’air disparaît. C’est pourquoi il est essentiel que les personnes asthmatiques utilisent l’inhalateur de sel SaltMed quotidiennement et sur une période prolongée.
En outre, SaltMed renforce l’immunité au niveau des voies respiratoires. Cet effet revêt une grande importance, car le corps devient plus résistant aux infections virales et bactériennes, facteurs toujours aggravants pour la condition du patient asthmatique, provoquant des exacerbations intenses.
Dans la pratique, en utilisant SaltMed sur une période prolongée (2 à 3 ans), l’immunité locale s’améliore, permettant ainsi à la muqueuse bronchique de se régénérer. C’est pourquoi il est si crucial que la thérapie SaltMed se poursuive sur une longue durée, même si la crise d’asthme bronchique ne se produit plus. Sinon, la muqueuse n’a pas le temps de se régénérer, la désensibilisation aux allergènes ne se produit pas et les infections réapparaissent. Ainsi le patient entre dans un cercle vicieux dont il ne peut sortir que lorsque la muqueuse bronchique devient résistante aux bactéries et aux virus.
Avantage fondamental de SaltMed
L’inhalateur de sel SaltMed agit directement sur les causes de l’asthme, se démarquant ainsi des inhalateurs qui ne traitent que les symptômes lors des crises. C’est pourquoi une utilisation régulière et à long terme de l’inhalateur de sel SaltMed génère des résultats remarquables, permettant aux personnes asthmatiques de mener une vie aussi normale que possible.
SaltMed pour les enfants
Compte tenu de l’incidence élevée de l’asthme chez les enfants, l’inhalateur de sel SaltMed vient avec des masques spéciaux pour les enfants. Ces masques garantissent une inhalation optimale des aérosols aux effets bénéfiques durables chez les petits patients asthmatiques.
Il est important de mentionner que l’asthme chez les enfants peut être traité avec succès. La thérapie SaltMed s’avère particulièrement efficace pour le traitement de l’asthme chez les nourrissons et les enfants de moins de 2 ans, ainsi que pour les épisodes récurrents de sifflements, une affection qui touche les enfants de 2 à 7 ans. Les enfants respirent beaucoup plus aisément, ne font plus de crises d’asthme bronchique, ne contractent plus de viroses, ni de grippe. SaltMed est un dispositif médical homologué également pour les enfants, assurant une utilisation sécurisée pour le traitement de l’asthme chez les bébés.
Des nuits paisibles
Étant donné que le sel absorbe les liquides qui s’accumulent dans la muqueuse bronchique, réduisant ainsi l’inflammation, le diamètre de ces tubes s’élargit, favorisant un échange gazeux beaucoup plus fluide. En respirant sans les problèmes spécifiques de l’asthme et en étant à l’abri des crises habituelles, le patient profite de nuits tranquilles, avec des effets positifs sur l’ensemble de l’organisme. Une personne bien reposée est moins susceptible de contracter des maladies, performe mieux à l’école ou au travail, et s’épanouit pleinement.
Pourquoi l’inhalateur pour l’asthme SaltMed ?
Parce qu’il n’y a aucun risque de surdosage et aucune interaction avec d’autres médicaments. C’est pourquoi le nouveau traitement SaltMed pour l’asthme bronchique est suivi en parallèle avec la thérapie prescrite par le médecin.
Évaluation scientifique de SaltMed
Les études ont démontré que la thérapie SaltMed ne comporte aucun risque de bronchoconstriction chez les patients asthmatiques, contrairement au risque associé à l’inhalation de solutions salines hypertones.
Comment se déroule le traitement avec SaltMed chez les patients asthmatiques?
Au cours du premier mois, le traitement dure 2 heures par jour, chaque jour. De cette manière, le sel inhalé sous forme d’aérosols parvient à extraire l’eau de la muqueuse bronchique enflammée. L’utilisation de la cartouche de type N garantit des résultats optimaux.
À partir du deuxième mois, la durée du traitement peut être réduite à une heure par jour, chaque jour, en utilisant la même cartouche de type N ou L.
Important: la thérapie avec SaltMed doit être poursuivie pendant toute la saison froide, lorsque le risque de crises d’asthme est plus élevé. Le principe de base est de continuer la thérapie même lorsque le patient se sent bien. Pourquoi? C’est ainsi seulement qu’on obtient l’effet nécessaire de désensibilisation aux allergènes, inhibant ainsi cette hyperréactivité bronchique, assurant ainsi un meilleur contrôle de l’asthme, une maladie autrement imprévisible.